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Parlons tabous ! Quelques réflexions sur le symposium de l’ICOFOM, Prague et Brno (22 au 27 août 2022).

Publié le 18 octobre 2022

[Illustration : copie d’après Aegidius Sadeler, The interior of the Vladislav Hall, Prague, après 1615, Amsterdam, Rijksmuseum, Collection en ligne, Rijkstudio ]

Bertin, Marion / Guiragossian, Olivia

Introduction

À la fin du mois d’août 2022, le Conseil international des musées (ICOM) se réunissait à Prague (République tchèque) pour sa 26e Conférence générale. En définissant comme thématique générale “Le pouvoir des musées”, possibilité était donnée aux membres de l’ICOM, à ses comités nationaux, ses comités internationaux et ses alliances régionales, de développer des thématiques permettant de mettre en lumière le rôle des institutions muséales – de manière assez positive – dans les grands bouleversements du monde.

Pourtant, au sein d’un programme particulièrement riche et varié, la thématique choisie par l’ICOFOM (Comité international pour la muséologie) pour ses rencontres, pouvait dénoter d’une volonté d’interroger ce “pouvoir” en “[discutant] de la façon dont les musées et la muséologie peuvent aussi avoir le potentiel de retirer le pouvoir, de déresponsabiliser, en empêchant la discussion de sujets sensibles”. Le mot était lancé : il s’agissait pour les organisatrices, Elizabeth Weiser, Marion Bertin et Anna Leshchenko, d’aborder la notion de “tabous”, dans les musées et dans la muséologie.

Plusieurs éléments ont structuré cette thématique. D’abord les keynotes speeches, dont ceux de Muthoni Twanga (« Unspoken histories – legacies of trauma ») et Ciraj Rassool (« Restitution and the museum as process”) qui se sont tenus au Centre de Conférences de Prague le 22 août. Trois autres ont été prononcés lors de la rencontre hors-site de l’ICOFOM, dans les espaces d’expositions du Musée national des techniques de Prague, par Elizabeth Weiser (« Breaking the Taboo of Silence without Breaking the Nation »), Marion Bertin (« Objects from Oceania: Taboos Inside and Outside Museums »), et Václav Rutar (« A Small Velvet Book About the Czech Museum Revolution”). Mais surtout, à son habitude, l’ICOFOM avait invité professionnel·le·s de musées et chercheur.se.s à proposer de courtes contributions (dont 26 ont été sélectionnées), publiées en amont du symposium (1). Quatre panels, autour des thèmes “Neutralité et activisme”, “Collections et publics”, “Muséologie problématiques” et “Colonialité, collaboration et conditions de travail” ont eu lieu entre le Musée national des techniques et à l’Université de Brno sous la forme de sessions de discussions, construites pour favoriser le dialogue et la discussion des participant·e·s entre elleux et avec le public.

D’abord pensé comme un espace de discussion autour de “non-dits” et des “silences partagés” au sein des institutions muséales et dans la production de théories en muséologie, le thème s’est développé au travers des diverses contributions autour de la production des savoirs, de l’enseignement de la muséologie, ou encore des conditions de productions des données et la concurrence dans le milieu académique et universitaire. Par ailleurs, les tabous dans les musées ont donné lieu à des présentations et à des réflexions concernant les collections par le biais des rapports de domination derrière leurs origines, de leur interprétation, des questions de restitution et de décolonisation, ou encore des projets de collaboration mis en place par des institutions. Enfin, des participant·e·s ont aussi mis en lumière les conditions de travail dans les musées ainsi que les pressions et enjeux liés à l’économie néolibérale, qui existent aussi dans le milieu universitaire.

Les réflexions présentées ici ne visent pas à proposer un compte rendu détaillé de ce qui a pu être dit et présenté à Prague (ce qui n’aurait qu’un intérêt limité puisque les communications ont été publiées et sont disponibles). Notre ambition ici est, au vu de notre positionnement lors de ce symposium (pour l’une organisatrice, pour l’autre participante), de faire ressortir les points saillants mais également les impensés de cette thématique rarement abordée de manière aussi frontale. C’est pourtant à cette condition qu’il sera possible d’aborder les questions des “tabous” en leur offrant les conditions d’épanouissement dans le futur.

Interroger les tabous, prendre la parole

Les différentes thématiques et questions soulevées par les divers·e·s intervenant·e·s nous ont amenées à nous interroger nous-mêmes sur la définition du tabou. En partant de la notion de tabou en tant que “silence” partagé, les contributions et discussions ont fait apparaître en filigrane des questionnements relatifs à la parole et aux conditions d’énonciation des tabous.  Existe-t-il une stricte frontière entre ce qui est tabou et ce qui ne l’est pas ? Ou, au contraire, une zone de flou, à dimensions variables et parfois jamais clairement établies, est-elle le propre des tabous ? En ce sens, quelle différence peut-on faire entre un sujet sensible et un sujet tabou ? Est-il même possible d’en faire une distinction claire ?

Est-ce que tout silence est “tabou” ? La question semble intrinsèquement associée aux problématiques liées à la participation et à la transparence, ainsi qu’aux “différentes voix” pouvant exprimer autant de narratifs. Le fonctionnement de la recherche est, à ce titre, assez significatif des dynamiques à l’œuvre. Quelle est la limite entre un tabou et les axes de recherche, eux-mêmes soumis à des mouvements de modes et d’intérêts/désintérêts plus ou moins rapides ? Cette question nous est apparue à l’écoute de plusieurs présentations, dont celle de Laurence Pauliac à propos de la polychromie des sculptures et leur monstration dans les musées français – ce qui a été mis en avant par Markus Walz lors des discussions ayant suivi cette présentation.

À l’inverse, les sujets abordés par un ensemble de participant·e·s, en particulier ceux liés à l’histoire coloniale et aux héritages coloniaux, soulignent leur passage d’un tabou vers leur dévoilement. Pas moins de neuf personnes, parmi les intervenant·e·s et les keynote speakers, traitaient de ces questions dans des contextes différents : en Europe, au Brésil, aux États-Unis, en Océanie, en Afrique du Sud ou encore au Kenya. Rappelons que dans certains pays européens, en France en particulier, parler d’histoire coloniale et de ses liens avec l’histoire des musées et des collections constituait un important tabou il y a encore quelques années. Peut-on encore considérer que c’est le cas ? L’agenda politique actuel, bouleversé par le discours du Président de la République française Emmanuel Macron en 2017 puis par la publication du Rapport sur la restitution du patrimoine culturel africain rédigé sous la direction de Felwine Sarr et de Bénédicte Savoy, a mis sur le devant de la scène les questions de restitution de collections issues de contextes coloniaux, des questions autrefois tues et largement dissimulées. On peut toutefois se demander si cette mise en lumière répond d’un effet de mode, comme s’est interrogée Mariana Tezoto de Lima lors de sa présentation. De plus, la transformation des anciens sujets tabous devenus en vogue signifie-t-elle que tout est bienvenu à dire et qu’il ne persiste plus aucun tabou pour autant ? Est-il même devenu obligatoire de tout dévoiler, dans une aspiration à la transparence totale ? Le passage du silence tabou à la visibilisation ne crée-t-il pas de nouveaux tabous ? De plus, n’inaugure-t-il pas de nouveaux rapports de force ? La représentation des femmes dans les musées, analysée par Julie Botte, est un exemple de la manière dont les non-dits se déplacent certes, mais existent toujours bel et bien.

Plusieurs participant·es ont aussi souligné le besoin de décoloniser les musées, en lien avec leur histoire et celles de leurs collections. Derrière ce vœu pieux, à présent porté par l’ICOM dans son plan stratégique 2022-2028, se cachent beaucoup d’autres enjeux qui sont encore très peu mentionnés. En effet, au-delà de décoloniser les musées et les savoirs liés à leurs collections, il faut avant tout décoloniser les disciplines elles-mêmes telles qu’elles sont construites, enseignées et soutenues par les pouvoirs politiques et économiques. L’ICOM, en tant qu’organisation internationale, impose une certaine pensée hégémonique sur le musée et les pratiques muséales.

C’est en effet un axe mis en évidence ou abordé plus implicitement par une large majorité de participant·e·s : derrière les tabous se cache un large spectre d’enjeux politiques et de pouvoir, qui répondent au rôle des dominant·e·s, que cela concerne divers types de rapports de domination : colonialisme et néocolonialisme, patriarcat, anciens régimes autoritaires et autres régimes autocratiques, capitalisme, etc.

Enjeux de pouvoirs

Parler de tabou suppose tout à la fois d’être en mesure d’identifier les “silences partagés”, et d’interroger les conditions de leur manifestation. Cette reconnaissance s’inscrit à la fois dans la prise en considération de l’altérité, mais suppose également de réexaminer son propre positionnement. Le monde des musées ne se soustrait pas à cette logique. D’autant qu’il n’est certainement pas novateur de rappeler que les rapports de dominations structurent les silences. Car, comme le rappelle François Mairesse, “les tabous reflètent les systèmes de pensée et les valeurs qui les ont mis en place (2)” : il s’agit bien au travers de ces tabous, de mettre en lumière les enjeux de pouvoirs sous-jacents à tout travail muséal et production de connaissances sur les musées.

Au-delà donc des sujets tabous, c’est leur système de production – et ainsi le positionnement de la parole – qui nécessite d’être examiné, et il y aurait certainement beaucoup à développer sur le sujet.

Un point nous a paru essentiel – et peut-être cela est-il aussi amplifié par nos propres situations personnelles – car les deux premiers panels de discussions étaient composés en majorité de jeunes chercheur·se·s et professionnel·le·s de musées, dont le statut précaire a été évoqué, sans constituer un sujet en soi. Les conditions de participation à de telles rencontres, qui nécessitent à la fois un effort financier et logistique mais qui dépendent également de facilités de déplacement (ne serait-ce que pour l’obtention de visa), rappellent que l’égalité au sein de la communauté muséale est loin d’être acquise (3).

On pourrait mentionner de manière générale les disparités de ressources existantes entre les différents contextes géographiques, à l’échelle mondiale. Mais l’on peut également revenir, à notre échelle, sur les conditions structurelles dans lesquelles se développe le monde des musées, parallèlement à celui de la recherche et de l’enseignement supérieur. Marqués par le tournant néo-libéral de la société, l’accès à des ressources restreintes suppose à la fois l’accélération de la concurrence mais également la précarisation des emplois (4) pour une partie – toujours plus croissante – des professionnel·le·s et des chercheur·se·s. Cette situation n’est pas anodine : elle constitue autant un “tabou” qu’une condition de sa production, inscrite dans des enjeux de pouvoirs à la fois économiques, sociaux, politiques et symboliques.

La question relative aux rapports de pouvoir s’exprime également dans le cadre de collaborations et autres projets participatifs, bien qu’ils soient unanimement promus et célébrés par les musées. Aujourd’hui, ce type de projets devient presque une nécessité de la part des musées en vue d’obtenir des financements, se donner une image positive et gagner la reconnaissance d’être « dans l’air du temps ». Toutefois, le statut des personnes qui collaborent avec les musées reste bien souvent précaire et incertain. Nombreuses de ces collaborations sont de courtes durées et ne permettent pas de nouer des relations véritablement durables, écueil que certains musées tentent aujourd’hui de résoudre. Enfin, comme l’a mis en évidence Leonie Leeder lors de sa présentation du Google Maya Project (5), construit par Google et le British Museum, une large part de compromis subsiste, qui laisse un pouvoir plus important aux musées accueillants et aux pourvoyeur·se·s de fonds au détriment des communautés ou groupes de personnes invité·e·s à collaborer. Au sein des musées eux-mêmes, la hiérarchie et les rapports de pouvoir internes peuvent faire naître d’autres types de compromis.

De manière assez significative, la question si délicate de la définition du musée semble recouper ces enjeux de pouvoirs. Au sein d’une organisation valorisant le dialogue et la collaboration, la mise en œuvre d’un processus “participatif, démocratique et transparent” pose la question des compromis mis en œuvre pour faire émerger un “socle commun (6) ” (avec, il faut bien l’admettre, une prise de conscience particulière des questions liées à la représentativité de tous les comités de l’ICOM et de toutes les visions du musée pouvant être exprimées). Mais d’une certaine façon, si la difficulté à définir le musée est si grande, c’est bien parce que la diversité du champ suppose d’en légitimer certains modèles – et, par ce biais, certains systèmes de pensée – au détriment d’autres. En fin de compte, nos connaissances sur le phénomène muséal ne sont que partielles, car elles dépendent à la fois de leurs conditions de productions et d’enjeux de pouvoirs pour leur reconnaissance.

À la recherche d’un équilibre

La thématique autour des tabous fait ressortir un fragile équilibre entre ce qui est dissimulé et ce qui est dévoilé, mais également sur les raisons et les effets de ces silences.

Une géographie mondiale assez large était représentée lors de ce symposium auquel sont intervenu·e·s des chercheur·se·s et des profesionnel·le·s venant d’Afrique du Sud, du Kenya, de Taïwan, du Brésil, de Finlande, du Burkina Faso, du Mexique, d’Italie, de France, de Pologne ou encore du Royaume-Uni. Toutefois, l’Europe était proportionnellement la région la mieux représentée par les intervenant·e·s. On peut ainsi s’interroger sur un certain positionnement européen dans le traitement de telles questions, notamment en ce qui concerne les propositions de décolonisation des musées et de réappropriation culturelle des collections et des mémoires. La prise en compte de ces questions permet-elle véritablement de transformer les épistémologies et de réduire les rapports de pouvoir, encore largement présents parmi les héritages coloniaux ?

Lorsque Muthoni Twanga affirme, de manière très juste, que “si votre histoire vous rend fier, c’est peut-être que ce n’est pas de l’histoire”, invitant à retravailler l’histoire et notamment l’histoire coloniale, l’on ne peut s’empêcher de ressentir un certain malaise. Celui-ci n’est pas dû à la nécessité, réelle, d’offrir de nouveaux travaux scientifiques permettant de rééquilibrer une histoire, apanage des vainqueur·e·s sur les vaincu·e·s. Mais à l’inverse, le révisionnisme historique, voire le négationnisme, est une réalité pour certaines régions du monde, marquées par l’impérialisme ou les contextes conflictuels ; l’histoire y devient un élément politique facilement manipulable (7) . De ce fait, dans un contexte particulièrement anxiogène, difficile, comment trouver l’équilibre dans de nouveaux rapports de domination dans l’écriture des narratifs ? Ne risque-t-on pas de créer de nouveaux sujets sensibles, interdits, autrement dit, tabous ?

Une autre question, déjà soulignée dans notre article, demeure en suspens à l’issue de ce symposium, qui illustre les difficultés à circonscrire de manière précise et établie les tabous : un tabou déjà « dévoilé » et connu en est-il toujours un ? Cette réflexion nous est venue après avoir écouté l’intervention de María Gabriela Mena Galárraga. L’intervenante soulignait le peu de place encore accordé par les musées aux émotions de ses visiteur·se·s et soutenait le besoin de développer une « muséologie de l’âme » (« museologia del alma » dans la proposition originale en espagnol). Cette proposition a reçu beaucoup de remarques enthousiastes et d’encouragements, notamment de la part des intervenant·e·s et du public venant d’Amérique du Sud. Les émotions demeurent encore largement négligées dans les expériences de visite de musées et d’expositions, bien qu’elles gagnent progressivement en présence et en reconnaissance depuis plusieurs décennies (8), notamment dans les musées européens. Les émotions sont ainsi particulièrement mobilisées dans les musées d’histoire et les mémoriaux, particulièrement dans le cas d’histoires douloureuses voire liées à des tabous, en témoigne par exemple le Denkmal für die ermordeten Juden (Mémorial aux Juifs assassinés d’Europe) à Berlin (Allemagne) ou le musée du Mémorial de la paix d’Hiroshima (Japon).

Conclusion

Aborder les tabous constituait ainsi un sujet à la fois vaste et dense, qui méritait d’être approché d’autant plus dans le cadre d’une organisation internationale ayant pour projet de tendre à la transparence, à l’égalité, à la démocratie – en témoigne le processus de nouvelle définition du musée – et donc de réaffirmer des valeurs (au demeurant occidentales) inscrites dans son ADN. Car l’ICOM, en tant qu’organisation internationale, impose une certaine pensée hégémonique sur le musée et les pratiques muséales Peut-être que la question ne porte pas sur “ce qui est tabou”/”ce qui ne l’est pas” ou bien “ce qui est dit/ce qui est mis au silence”, mais est bien celle de s’interroger sur les conditions de production et les structures sous-jacentes. Ce n’est qu’à cette condition que les valeurs définies comme fondamentales pour une action collective, notamment au sein des grandes organisations internationales, pourront véritablement trouver de la hauteur et une résonance.

Notes de fin

(1) Ces textes ont été publiés dans la collection « Matériaux pour une discussion ». L’ensemble des contributions est accessible ici : https://icofom.mini.icom.museum/wp-content/uploads/sites/18/2022/08/taboos_in_museology.pdf

(2) Mairesse F. (2022). La muséologie au risque de l’inégalité. Dans Weiser, E. (éd.), Bertin, M. (éd.), Leshchenko, A. (éd.). Taboos in Museology: Difficult issues for museum theory. Materials for a discussion, Paris, ICOFOM : p. 76.

(3) Et il est par ailleurs intéressant de rappeler que ce point avait pu être souligné lors des discussions autour de la définition du musée lors de la Conférence Générale de Kyoto en 2019.

(4) Voir l’article de Marine Vazzoler, dans le contexte français, publié dans Le Quotidien de l’Art : https://www.lequotidiendelart.com/articles/22528-dans-les-musées-la-précarité-généralisée-de-l-emploi.html

(5) Le projet est accessible en ligne : https://artsandculture.google.com/project/exploring-the-maya-world

(6) Voir les trois articles publiés sur le sujet entre 2019 et 2022 : https://metis-lab.com/2019/10/04/dans-les-coulisses-dune-nouvelle-definition-du-musee/ ; https://metis-lab.com/2019/10/30/dans-les-coulisses-dune-nouvelle-definition-du-musee-lexperience-japonaise/ ; https://metis-lab.com/2022/09/27/definir-le-musee-suite-et-fin-dun-processus/

(7) Voir le Compte-rendu de la session plénière « Les musées et la société civile » : https://metis-lab.com/2022/09/15/purpose-museums-and-civil-society-un-objectif-les-musees-et-la-societe-civile-compte-rendu-de-session-pleniere-de-licom/

(8) Un numéro de la revue Culture & Musées (2020) est consacré notamment à la question des émotions dans les expositions : https://journals-openedition-org/culturemusees/5352

Pour citer cet article : BERTIN, Marion, GUIRAGOSSIAN, Olivia (2022). Parlons tabous ! Quelques réflexions sur le symposium de l’ICOFOM, Prague et Brno (22 au 27 août 2022), Metis Lab, publié le 18 octobre 2022. Disponible sur :
metis-lab.com/2022/10/18/parlons-tabous-quelques-reflexions-sur-le-symposium-de-licofom-prague-et-brno-22-au-27-aout-2022/

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